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Coucou à toi ! Ta besoin d'aide ? Regarde dans "Catégorie" tu peux trouvez ce que tu veux. Série ET Fim Disney Channel

Le livre d'Anajara Martinez "Je suis beaucoup de choses dans un corps si petit"

Hey,

Je suis vraiment très heureuse de vous présentez l'article du jour, c'est enfaite un article "Lecture" enfin oui et non, Anajara Martinez actrice en tant que JIM dans Soy Luna a écrit un livre, un livre un peu journal intime avec des moments de sa vie et aussi des poèmes, des chansons, des phrases, des sentiments. Aujourd'hui dans cette article je vais vous traduire certaines pages, des pages touchante qui valent vraiment le coup d'être lu, puis comme d'habitude je vous dirais les points positif et négatif du livre. 

Attention ! : L'article est vraiment très long ! Si vous ne vous sentez pas de tout lire j'ai fait un code couleurs pour que vous puissiez plus facilement savoir ce que vous avez envie de lire et si tu veux juste connaître mon avis sur le livre c'est toute à la fin. 

PARTIE 1 - Voici le livre 

-Code couleurs-

   : Inmanquable, à lire absolument. 

   : Passage sur sa vie privé.

   : Poèsie, sentiment

Sur la 4ème de couverture il y a donc la présentation de son livre - [Je traduit] - Ce livre c'est tout ce que je suis, même si vous ne le trouverez pas au rayon des autobiographies.  Je suis des petites pensées, Je suis des chansons sur le point de les chanter, je suis fan de ma famille, je suis voyageuse, je suis une femme, je suis tout ce qui ne s’étiquette pas. Pendant des années j'ai écrit mes sentiments n'importe où, dans un carnet, dans un agenda, sur une serviette ou sur mes mains ; mes rêves, mes peurs, mes réussites et mes erreurs. "Je suis beaucoup de choses dans un corps si petit" est une invitation à rêver sans peur, c'est avoir plus d'envie que de doute, c'est un saut dans le vide, c'est un voyage sans retour.

Puis sur une autre pages, il y a l'index où l'ont peut voir tout les chapitres. : Chapitre 1-Petite pensé, Chapitre 2 - Chanson que je ne t'ai jamais chanté , Chapitre 3 - Fanmille ( Mix du mot Fan et Famille) , Chapitre 4 - Compte kilomètre , Chapitre 5 - Femme , Chapitre 6 - Tout les choses qui ne s'étiquettent pas.  

Page 16 - 17 : N'oublie pas que je t'aime parce que si tu l'oublie tu oubliera mon prénom tu oubliera mon amour et tu m'aura tué et si tu me tue je ne pourrais plu jamais t'aimer

Page 30 - 31 : Je ne sais pas qui tu es ni ce que tu veux mais tu fais partie de toute ces personnes qui veulent être et pour toi il ne le sont pas. 

Page 24 - 25 : Quelle putain d'envie j'ai de te voir, merde. 

Page 26 - 27 : Il doit y avoir une raison scientifique, je pense, quand quelque choses ne vas pas bien et que je suis triste. 

Page 28 - 29 : Je t'univers. Aimer dans toute son immensité, sa profondeur et dans toute ses couleurs. Aimer dans les jours nuageux et dans les jours colorés. T'aimer libre le jour et la nuit. Étoilé et éteint. 

Page 32 - 33 : Moi je t'aime parce que lorsque j'ai mal, on a mal, l'aventure est plus belle avec toi. 

Page 18 - 19 : Cela va me manquer que tu me manque . 25 mai 2018, Je t'ai beaucoup aimé. 

Page 42 - 43 : Il y a des amours qui arrivent comme celui-ci. Ils arrivent une nuit où on ne s'attendais à rien. Il m'a donné rendez vous pour aller à un concert, le concert d'un de mes groupes préférés. Lui il voulait juste quelqu'un avec qui il pourrait passer de bon moment, moi je suis tombé amoureuse, très amoureuse. J'ai compris que je devais laisser une trace très forte dans sa vie mais que je laisserai tout de même une trace toute petite. Simplement on ne c'est pas rencontré au même moment de notre vie. Mais comme je l'écrit, pour moi ce qu'il c'est passé était une éternité, une jolie éternité. J'espère que la vie nous fasses à nouveau nous rencontrer pour que je puisse te dire que tes yeux vert ont continué de m'inquiéter. 

Page 56 - 57 : Quand je suis seul dans le noir et qu'il n'y a pas de mot qui puisse exprimer ce que je ressent, une lumière s'allume et mon histoire commence. Je lui raconte à quelle point je suis heureuse ou a quelle point je me sens mal. Je lui danse ma meilleure joie et ma pire déception. Je lui dit qu'avec lui je me sens libre et en même temps attrapé, attaché, à cette passion folle que peu connaissent. Comment dire à ma mère qu'il me protège même si parfois il me fait mal, qu'il m'aime autant que je l'aime et que je le ferrais jusqu'à ce que mon corps me disent STOP. Et même comme ça même si je n'en peut plu, je l'ai aimé caché sans que personne ne me juge. Seulement un est maître de ses peurs et de son insécurité et moi je suis forte avec lui parce qu'il m'a donné tout ce dont j'avais besoin pour que je me sente Air, pour que je me sente Terre et même pour que je me sente Femme. Lui, ce n'est pas quelqu'un, c'est la danse. 

Page 62 - 63 : Chanson pour moi. Pour quand je n'y arrive plu, regarde derière toi, Juste valorise, Juste profite. Tu as grandi petit sourire des yeux marrons et mille rêve sur le toit que la brise n'a jamais emporté. Ne sois pas triste, tu as un ange qui te protège, qui te borde depuis que tu t'en es allé. Ca c'est une carte pour moi pour que quand quelque chose ne va pas bien je pense que les mauvaises choses arrive et comme elles sont arrivés, elles repartent. Les choses bien garde les , protège les, profitent en. Que ces yeux brillent et ne s'effacent jamais comme une après midi ensoleillé dans une rue de Londres. Que ce sourire raconte des histoires et que personne ne fassent qu'elles se cachent. Cette carte est pour toi, pour quand tu en a besoin.

Page 64 - 65 : Ma chanson pour moi, mon passé chantant à mon présent et même à mon futur. Je l'ai écrite pour ces moments où l'on ne parvient pas à trouver de côté positif à ce moment là. Et oui, je me chante que tout passe, que tout arrive. Je suis moi comme psychologue et comme patiente. Quand tu te sens triste, 30 personnes peuvent venir te remonter le morale, te dire de ne pas être triste mais tant que toi tu ne le décide pas tu ne va pas changer. Cela est la bonne façon de voir que dans les moments gris en réalité il n'y a qu'à dégager un peu le ciel pour observer que toute les couleurs y sont, à toi de les attraper. Chante toi une chanson pour toi.

Page 68 - 69 : "Je me rend compte que mon grand-père va mal, mais cette fois c'est bien plus sérieux. Pour cette raisons, j'ai réussie à me rendre une semaine en Espagne… Mon grand-père disait aurevoir à la vie. Je savais que j'y allais pour lui dire adieu, je le ressentais. Tout les jours de cette semaine là je suis allé à l'hôpital. Mon grand-père ouvrait à peine les yeux mais je ne pense pas que ce soit parce qu'il n'y arrivais pas, parce qu'en réalité il arrivais à tout faire. Je suis sûr que c'est parce qu'il ne voulais pas nous voir souffrir. Cela a été très dur de savoir que je ne le reverrais plus jamais le jour avant de retourner à Buenos Aires. Je me rappelle que mon frère et moi sommes allé à l'hôpital, nous étions tout les deux pareil, quand l'un c'est cassé l'autre l'a suivi. Je pouvais revenir le lendemain matin à l'hôpital mais il allait bien plus mal et moi je voulais le garder en mémoire avec sa meilleur version alors je ne suis pas allé le voir. Je suis rentré à Buenos Aires, il lui aura fallu moins d'un mois pour mourir. J'ai reçu un message, je ne comprenais rien mais mon corps comprenais tout parce qu'il pouvait à peine rester debout. Je suis allé à la maison de mon copain et il avait reçu un message de ma maman qui disait: Prends soins d'elle , elle aimait beaucoup son grand-père. 

Page 70 - 71 : Je n'ai pas pu aller à l'enterrement mais on m'a dit que beaucoup de gens y était allé.. Peu de fois j'ai demandé une faveur aussi grande à mon frère mais si déjà je ne pouvais y être il fallait que mes mots puisse y assister. "Je n'ai jamais réussie à gagner contre toi au carte, cela faisait de toi un champion, Tu as réussie à ce que personne ne te contredise, cela faisait de toi une tête de mule, Tu as fait ce que tu voulais quand et comme tu le souhaitais et ça fait de toi aujourd'hui un gagnant. Je t'admire, je t'aime, je te protège mais tu me manque, Où que tu sois, j'ai nos souvenirs ici, Je t'aime." 

Page 72 - 73 : "Tout ce dont j'avais besoin était dans un pantalon. Et là je me retrouve à chercher de la monnaie pour pouvoir m'acheter un pain au chocolat que j'aime tant, je cherche dans mes poches et je trouves un petit carton aussi petit qu'une étiquette mais non une étiquette ne t'inonde pas les yeux de cette manière. Ma tête était de celle des séries américaines de "Mais qu'es ce que c'est ?!" avec un demi sourire. C'est la tête que j'avais, c'était ma maman, c'est son écriture. Un petit papier mis dans la poche dans un pantalon peu faire qu'elle te change ta journée. Sur le papier il y avais marqué "Rappelle toi que la peur fait mourir les rêves." 

Page 76 - 77: "Sur un des autres papiers il y avais écrit "Ne permet pas qu'un mauvais jours détermine ton état d'esprit. Montre au problème qui est-ce qui décide dans ta vie." Je ne dit pas ça pour ce jour là mais pour tout les jours qui ont suivi, à chaque fois que je voulais mettre un pantalon il apparaissait des petit messages de ma maman ainsi qu'un sourire et une carresse dans mon cœur pour me faire sentir plus prêt même si j'était loin. Ma maman est comme ça, ni plus, ni moins. Elle fait ce qu'elle a à faire au moment approprié. Elle n'a même pas un minuscule grain d'égoïsme. Elle nous offre absolument tout, son amour, son temps et sa perfection. Maman merci de me remplir les pantalons de tout ce dont j'ai besoins. Un petit morceau de toi pour que la distance sois plus courte."

Page 82 - 83 : "Nous avons 7 ans de différence. Tu t'es envolé très rapidement du nid et moi qui est promis à nos parent de rester très longtemps à la maison , il m'est arrivé la même choses. Je me suis envolé, j'ignore si c'était trop tôt mais je suppose que j'avais le meilleure exemple, toi, mon grand-frère. Je sais que je suis arrivé à un moment où toute l'attention était porté sur toi , désolé si je t'ai un peu volé le rôle principale. J'était la petite fille, la petite princesse et tout les yeux me regardait moi, mais depuis que je suis maître de mon esprit je me suis rendu compte que toi tu continuait d'être le petit garçon parfait. Toujours si exact, depuis l'école et jusque l'université, et moi je suivais tes pas avec ton nom de famille, j'était presque toi mais jamais comme toi. Je ne me suis jamais fâché pour ça simplement je le comprenais moi j'était trop fofolle et toi trop saint d'esprit. Je suppose que ce fut à ce moment là que nous nous sommes trouvé. Quand tu m'a prêté cette ancle pour la collé au sol et que je t'ai donné des ailes pour que tu voles plus haut. Ici je t'écris, Raul, pour que toujours tu compte sur moi, pour que toujours je compte sur toi.  Mes ailes se sont convertie en un pont, pour que tu puisse voir plus loins, que tout vaut la peine, que tout ce peut." 

Page 84 - 85 : "Et toi mon grand frère, tu m'a donné ton monde pour me montrer que tout n'est pas bon que parfois ils te font mal. 7 années, c'est ce qu'ils nous séparent, mais ces années sont ceux qui nous unis. Maintenant tout les deux à Madrid pour ne jamais arrêter de voler avec les pieds bien amarré au sol, avec les pieds attaché au sol, avec les pieds fermé et attaché avec les pieds comme des ancres." 

(Il y a 5 pages donc je vais enlever beaucoup de passage ahah)

Page 104 - 113 : "Toute à commencé le jour de mon anniversaire, le 17 novembre 2014, je fêtais mes 19 ans et cette année là n'était pas la meilleurs de ma vie, pourquoi mentir. Je n'avais pas pu rentrer à l'université, pour la carrière qui me correspondait un peu à moi mais surtout à mes parents . Moi je voulais être actrice. Cette année là, j'ai demandé à mes parents de me laisser une année, une année où a la place d'étudier à l'université ils me donnent l'opportunité de me former en tant qu'artiste. J'ai eu plusieurs travaille artistique que j'arrivais à combiner avec d'autre métier odieux pour pouvoir avoir les moyens de m'acheter ce dont j'avais besoins. L'année de mes 20 ans, en soufflant mes bougies, j'ai demandé à l'univers que cette année là sois la mienne, mon souhait a été réalisé seulement 3 jours plus tard. Le 20 nouvembre, j'ai reçu un appel en réponse à un mail que j'avais envoyé par rapport à un casting pour disney qui se tournait à l'étrangé. Je n'ai pas fait attention au où mais au quand. Le 24 novembre moi et mon père sommes allé à la gare pour prendre un billet mais quand j'ai vu les prix j'ai dit à mon père que non, que je ne voulais pas y aller, c'était irréaliste de payer une telle sommes d'argent pour un simple casting au quelle mon esprit d'incertaine me disait que je n'allais pas être prise. Je suis sortie de la gare et je me suis mise à pleurer de colère. Mon papa m'a vu et est rerentré dans la gare et en est ressortie avec deux billet, un pour moi et l'autre pour ma mère. Le 25 novembre nous avons pris le train direction Madrid, une fois arrivé nous sommes tout de suite allé au Casting, pendant le casting j'ai Chanté, Dansé et joué mais j'ai aussi menti j'ai dit que je savais patiner, mais j'était certaine que je ne serais pas prise. En sortant, Moi et ma mère sommes allé fêter le fait que nous étions toute les deux à Madrid avec un sandwich au calamar, à force de tellement parler et de se promener je ne mettais même pas rendu compte que j'avais laissé mon téléphone sur le banc de l'arrêt de bus, je m'en suis rendu compte lorsque mon téléphone appelait ma mère, Il se trouve que quelqu'un a trouvé mon téléphone et qu'il l'avait donné à un policier et le policier à appelé ma maman, alors nous sommes retournée à l'arrêt de bus. Quelques heures plus tard nous sommes rentré à la maison. Une semaine après, j'ai reçu un appel, un appel qui a changé ma vie car il m'annonçait que j'ai été prise pour jouer dans la série en Argentine dans un mois. Le 25 janvier 2015, tout ma famille m'a accompagné à l'aéroport.  

Page 126 - 127 : Je te veux magnifique, je te veux quand tu es belle, je te veux quand tu es mignonne, je te veux saine, je te veux quand tu vas bien, je te veux soigné. Tu me plaît folle, tu me plaît cassé, tu me plaît toi. Sans te comparer, sans te déplacer, sans te faire mal. Mais quand je t'aime le plus, et quand tu me plaît encore plus c'est quand tu t'aime, c'est quand tu me plaît encore plus. Précieuse, quand tu t'aime, quand tu te valide, lorsque tu te valorise, toi. 


Page 132 - 134 : Il était une fois une fille appelé Carlota. C'était une petite fille vaniteuse. Depuis qu'elle est née, l'attention était porté sur elle, les brillants, les paillettes, les couleurs pastels et les chaussures à talons. Chaque cadeau d'anniversaire qu'elle recevais était un élément de décoration pour son château de princesse. Édredon rose avec des étoiles d'argent, chaussons pour être à la maison avec un petit talon , une baguette magique pour faire de ces souhaits réalité et plein de choses pleine de paillettes.  Sa chambre, c'est ainsi qu'on l'appelais: "Le palais de Carlota". Coquette et gâté c'était la petite fille des yeux de papa et maman. Soudain, David arrive à son royaume. Son petit frère. Carlota a toujours eu envie d'avoir un petit frère et c'est elle qui a choisi son prénom, David. Elle expliquais curieusement qu'elle avait choisi ce prénom là car c'était digne d'un prince, un prince charmant qui avait accès au château de Carlota. David naviguait sur son vaisseau spatiale. Sa chambre, bleu et gris, avait une entré qui pouvait impressionner n'importe qu'elle membre de la NASA. Construite par son papa. Il y avait des planètes et des systèmes solaires qui volait partout dans la chambre, des étagères pleines d'expériences scientifique et des vaisseaux télécommandés.  Le palais de Carlota et le vaisseaux spatiales de David, 2 mondes séparés par un mur en béton. Quand le 6 janvier est arrivé, les deux ont couru pour ouvrir leurs cadeaux. David a perdu l'excitation quand il a vu que c'est cadeau était emballé avec du papier de couleurs foncé alors que ceux de Carlota était emballé avec du papier brillant et beaucoup de couleurs pastel. Il a commencé à s'intéresser à ces couleurs là, à ces jouets, à la façon que Carlota a de jouer, a comment elle s'imaginait être une princesse des contes. Il avait toujours joué avec elle et il avait toujours accepté le rôle qui lui était attribué. Elle était la reine et lui le prince David. Il l'avait accepté mais cette fois quelque choses avait changé. Le temps à passé et David a laissé ces jouets de côté et il a passé plus de temps dans le palace de Carlota, il se sentais très bien là-bas. Mais il était préoccupé "Et si je devais être à un autre endroit ? " Il avait toujours choisie la navette spatiale parce qu'il n'avait jamais vu au delà. Si il ne connaisait pas d'autres options c'était normal que qu'il choisisse ce qu'il connaisait. Il en était là, David avec ces 7 ans et ces questions à propos de ce qu'il aime. Un jour il c'est réveillé et a couru jusqu'au lit de sa maman. - Maman,  Je peut jouer avec Carlota dans son palace ? -Bien sûr mon chéri, Carlota te laissera surement être le prince.  -Non maman, je ne veut pas être le prince, je veux être LE* princesse

*(oui c'est Le ce n'est pas une erreur de frappe, il ne veut pas être prince mais Le princesse, un garçon princesse).

Page 135 : Ce micro conte je l'ai écrite à 14 ans quand j'ai vu grandir mes cousins, certains d'eux avec cette erreur là depuis si petit. Moi je ne veut pas commettre cette erreur, je veux que mes enfants naissent et qu'ils choisissent qui ils veulent être. Le bleu et le rose ne se portent plus pour différencier si on es une fille ou un garçon, nous sommes plus qu'une couleurs, homme ou femme, nous sommes des sentiments et des choix. N'arrête jamais de choisir ce que tu es. 

Page 142 - 143 : Tu es revenue et… Toi, qui crois-tu que tu es pour tout changer de place, quand toute était propre, serein, sans personne qui hausserai sa voix criant révolution. Répond moi, qui crois-tu que tu es pour venir convaincre tout le monde que tout n'est pas terminé. Toi qui est venue à Madrid me remplir les rues de souvenir, à défaire la guerre et refaire l'amour, à me remplir de bisous, de rêve et d'os de cristal. Toi qui a souris et à commencé la révolution. Maintenant, reste. 

Page 146 - 147 : Sur le point de non mais si. Sur le point de ranger dans un tiroir la plus jolie lettre que j'ai pu écrire.  De laisser le destinataire sans pouvoir lire tout ce qu'il m'a provoqué. Ce ne sont que des mots, mal connecté je me dit. Ce ne sont que des idées sans sens, je me répéte. Sur le point de ranger dans un tiroir changement d'opinion et d'orientation. Sur le point de non, mais si. 

Page 152 - 153 : C'est incroyable ce que peut réveiller cette personne en toi. Tout te rappelle lui, et l'envie de tout partager. "C'était super, mais avec toi ça aurai été mieux, toujours"

Page 154 - 155 : Cela apparait toujours quand on s'y attend le moins ou quand on en a le plus envie. La multitude te fait parfois te sentir ainsi. Elle arrive et te vide. Cela change rien que tu sois entouré par beaucoup de gens, Aimé mais blessé, de toute, la pire sensation.

  Sur la dernière page il y a un texte la présentant : " Mon nom est Ana Jara Martinez, j'ai 23 ans et comme dit le titre du livre je suis beaucoup de chose et je me sens aussi de beaucoup d'endroit, on pourrais dire que je suis originaire du monde. Depuis que je suis petite j'aime l'art sous toute ces formes mais cela c'est encore plus confirmé quand j'ai fait mes études d'actrice et de danseuse dans différentes écoles. Ces 4 dernières années j'ai vécu en Amérique Latin..."

 

PARTIE 2 - Moi, ce livre.

Vous vous imaginez bien que si j'ai fait un si longue article c'est que j'aime vraiment beaucoup ce livre. Je suis tombé amoureuse de ces mots, de sa façon d'écrire, de sa façon d'expliquer ces souvenirs. Ce livre, c'est l'une des rares choses dans ma vie que je n'ai pas regretté d'acheter, ce livre je le définirais comme une merveille, des pages remplis d'amour, de jolie mot, de souvenir. Vous l'aurez compris ce livre je le conseille à tous, à tout ceux qui ont un cœur, à tout ceux qui sont sensible comme moi à la poésie. Lors des 4 pages pour la mort de son grand père j'ai versé une larme, j'ai même trembloté, ces mots était si touchant, l'histoire si triste.. Ce livre n'est pour l'instant qu'en espagnole et c'est bien dommage car tout le monde devrait le lire. Mon article vous en livre beaucoup, dans mon article il y a toute, VRAIMENT toute mes pages préférés, toute les pages à ne pas manquer. Ce que j'aime dans ce livre c'est sa poésie ainsi que sa délicatesse. 

Si je peut me permettre une petite remarque, lorsque j'ai ouvert le livre j'ai été assez triste en voyant qu'il contenait plus d'illustration que de texte cependant les dessins sont très jolie alors es-ce dérangeant ? non mais plus il y a de mots plus je suis comblé. 

Bon, et bien voilà. C'est la fin de cette article, je n'arrive pas à croire que je sois en train de vous dire que l'article est fini.. Si vous saviez combien de temps j'y est consacré, entre les photos, les textes à traduire, les montages photo puis la correction pour qu'il y es le moins de fautes possible, j'ai bien cru qu'il n'y aurai jamais de fin. Si vous saviez à quelle point j'aime ce livre et à quelle point cette article représente beaucoup pour moi car j'espère de tout mon cœur que les extraits, mes extraits préférés vous ont conquis autant qu'à moi. Je vous souhaite une très bonne semaine, on se retrouve mercredi.

BYE !  

 

 

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